L’eau, trouble et double, fascine Nathalie Pernette. Tout à la fois sombre et limpide, douce ou furieuse, joyeuse et ténébreuse, peuplée d’êtres fantastiques réels ou imaginaires… elle est une intarissable source d’inspiration pour la chorégraphe, qui après La mémoire de l’eau, pièce tous publics, proposée dans les piscines, imagine son pendant pour les tout-jeunes enfants.
Dans L’eau douce, elle conçoit d’abord une rêverie chorégraphique, qui fouille la part étrange, légère et ludique de l’eau. Elle trace aussi un voyage, celui des corps qui dansent et des imaginaires qui divaguent. Son chemin traverse différents états de l’eau, de la glace à la neige, de la brume à l’évaporation.
Jouant de ses différents aspects, L’eau douce saisit l’humeur changeante et imprévisible de l’eau pour mieux la « goûter », et (qui sait ?) donner l’envie d’en prendre soin…
Types
- Danse
- Festival
- Spectacle
- Art et spectacle
- Autre thème culturel